maison? (pv les Néerys)

Lorsque les rayons du soleil travercèrent la fenêtre pour pénétré dans la chambre, réchaufent la piesse et réveillent le jeune homme qui fesait la grasse matiner. Des bruit se fit entendre, c'était des cliqueti de griffe qui, achaque pas de l'animal, frappait le plancher de bois. Les bruit se raprochait de plus en plus et soudain, une lange chaude et baveuse vin s'écraser sur la joue du jeune homme. Un hurlement de mécontentement se fit entendre dans la pièsse...

Le jeune homme se prépara pour sortire travailler, pourtant sans vraiment savoir pourquoi il avait comme quelque chose qui lui disait d'aller absolument dans la forêt. Il sorti de cher lui se dirigent vers le centre comercial, mais il senti encore cette impétion de devoir aller dans la forêt. Il fit donc se que lui disait son imprétion et il se mit en route vers la forêt. C'était une belle matiner et il n'y avait pas beaucoup de monde dans les rues quoi de mieu.

William sorti de la ville, arriva devant la forêt. Il marcha pendant plusieurs minute avent de tomber sur une belle maison. Il sen approcha comme s'il savait depuis topujours qu'elle était là. Il prit la poigner et ouvrit la porte qui par miracle n'était ma vérouiller. Il passa le couloir, oublient de refermer la porte. Le jeune homme s'approcha d'une petite table. Sur un papier était écrit son nom il y avait cinq autre nom. Une clef était devent chaque papier. Willaim prit la clef et au même moment la porte fit un grincement horrible, quelqu'un arrivait, mais qui... ?

Depuis sa mort atroce, Edward ressentait le besoin irrépressible de s’isoler des autres. Quand il c’était réveiller dans cette chambre blanche, il avait comprit qu’il était mort. Il se souvenait de tout, exactement en détail et il avait bel et bien périt. Il ne s’avait pas ce qu’il était, mais il n’était certes plus le Edward d’antan. Même s’il n’avait pas encore prit connaissance de ses pouvoirs, il avait décider de quitter ses grands-parents, ses amis, ses souvenirs, pour aller vivre dans une petite ville sans histoire ( Enfin, il le croyait ).

Avant, il n’avait jamais particulièrement aimer la nature, la fôret et tout les trucs dans le genre. Il avait été un adolescent de la nouvelle ères, un adolescent des villes qui excellait en tout ce qui avait attrait à la technologie. Sa personnalité avait radicalement changer. Maintenant il adorait marcher dans les bois, seul, méditant longuement entourer par la tranquillité de cette forêt. Les animaux ne l’effrayait pas particulièrement et appar les bruits naturel de la nature ( une fois qu’on s’y était enfoncé assez pour ne plus entendre les voiture passer ) l’apaisait agréablement.

Par cette journée légèrement nuageuse mais toutefois douce, il décida que rien ne serait plus doux que de se rendre dans les bois pour y faire un peu de lecture. En cela aussi, il se démarquait de l’ancien lui-même, car il n’avait jamais mit le nez dans un bouquin avant la nuit qui avait tout changer pour lui. Appar les manuels d’école, bien entendu, et même la… S’il pouvait l’éviter, il était le premier à sauter sur l’occasion. Mais maintenant… Il n’en finissait plus de se plonger tête première dans des romans divers, ou il pouvait enfin tout oublier. Son esprit ne se concentrait plus alors que sur les pages, les frase et les mots qui défilait devant ses yeux. Pour cette fois, il attrapa son exemplaire de Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand, et sortit silencieusement de son appartement.[/font]

( HJ : Il me semble que je t’entend déjà sourire ma petite Charlie… ^^ En effet, certaine chose ne change pas!!! Et c’est un classique qui me tien particulièrement à cœur… Donc voilà! Cyrano Powaaaah! Et l’extrait est plus un… Petit plaisir personnelle pour moi qu’une réelle nécessité. XD )

Il se rendit directement à la forêt qui était a environs une quinzaine de minutes plus loin, et ce mit en devoirs de retrouver un endroit sur lequel il était tomber, tout à fait par hasard, quelques jours plus tôt. Ayant découvert une grande pierre grise, toute proche d’un petit ruisseaux et environné de fougère sauvage, Edward était tomber sous le charme. Le hic, c’est qu’il n’avait pas vraiment fait attention de savoir comment y retourné… Grave erreur. Maintenant, il s’enfonçait dans les bois, a la recherche de ce fameuse endroit.

Il suivit un moment un petit sentier avant de s’en éloigné, étrangement attiré… Il ne prit pas beaucoup de temps avant qu’il découvre enfin le fameux endroit, et un grand sourire étira ses lèvres. Il prit place sur le rocher, les jambes élégamment replier sous lui et ouvrit l’œuvre d’Edmond Rostand.

( … )

Vous.... vous avez un nez... heu... un nez... très grand.

CYRANO, gravement
Très.

LE VICOMTE, riant
Ha !

CYRANO, imperturbable
C'est tout ?...

LE VICOMTE
Mais...

CYRANO
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... bien des choses en somme...
En variant le ton, - par exemple, tenez
Agressif : « Moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C'est un roc !... c'est un pic !... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ?... C'est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! »
Cavalier : « Quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode ! »

( … )

Edward interrompit brusquement sa lecture, en pleins milieux de la célèbre tirade du nez de Cyrano. En fait… Il éprouvait un certain malaise et, incapable de le faire taire, il se résout à se lever. Il avait la désagréable impression qu’il aurait du continuer son chemin un peu plus loin… Comme si quelque chose l’appelait inconsciemment. Il jeta un coup d’œil prudent a sa montre, et avança précautionneusement en direction de ce pressentiments.

Le jeune homme tomba assez rapidement sur une petite maison en bois, assez jolie. La demeure semblait a l’abandon et l’entretien du terrains environnant laissait gravement a désirer. Cependant, la petite maison était remplit d’un charme campagnards qui plut immédiatement au jeune homme. Il sortit des bois et s’en approcha doucement. La porte était ouverte… Il marcha quand même jusqu’au porche de la maisonnette avant de stopper net. Il venait d’entendre un bruit a l’intérieur de la demeure. Les propriétaires? A ce fier aux environs immédiat du domaine, ceux-ci n’avait pas remit les pieds ici depuis des lustres. Un cambrioleurs? Alors la, il en doutait. Même le plus pauvres de tout les hommes ne s’attendrait pas à trouver quoique ce soit avec une quelconque valeurs dans ce taudis. Un squatteur? Edward n’avait absolument aucune intention d’aller vérifier.

Alors qu’il tournait les talons, une grande bourrasque de vents agita soudainement les arbres, ouvrant grande la porte de la petite maison. Du coin de l’œil, le Néerys de l’eau aperçut une silhouette qui se tenait dans la demeure. L’inconnu l’avait apparemment remarquer… Sur le coup, le garçon faillit bien continuer son chemin, sans faire attention. Malheureusement, il ce dit que si la personne dans la maison était bel et bien le propriétaires, il passerait facilement pour un voleur… Il revint donc sur ses pas et posa un pieds sur le seuil de la porte.

‘’ Désolé de vous déranger, je… ‘’ commença t-il, avant de s’interrompre brusquement.

Son regard gris se posa alors sur une jeune homme d’environs son âge, au cheveux noirs et au yeux verts. Celui-ci tenait une petite clés à la mains.