Du haut de la fallaise

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William marchait calmement vres le haut de la fallaise. Il sentait l'air fraiche passer dans ses cheveux, les fesent dancer aux grée du vent. Le jeune homme était simplement vétu de noir, t-shirt et pentalon.

Lorsqu'il arriva tout en haut, il s'arrêta pour prendre une grande respiration. L'air fraiche était pure et agréable. Une petite brise souflait doucement et les rayon du soleil venait laicher la peau du jeune homme qui en resenté la légére chaleur. Il se sentait bien, il se sentait libre, un sensation impossible a resentire dans la ville et pourtant si agréable. Il hurla un bon coup, comme s'il était dans un manége, dans son crie on pouvait distingé de la joie du bonheur.

William n'avait pas vue que quelqu'un s'approchait enfais il ne sen préocupait pas il était trop conscentré sur son moment de plaisir et de pays. Et puis, quoi de plus formidable pour le néerys de la terre que de se remplire les poumons d'air fraic, de santir le soleil sur sa peau et de voir les vaguer se fracaser contre la fallaise... Mais l'inconu se rapprochait de plus en plus...

Humaine Nombre de messages : 20 Age : 31 Date d'inscription : 13/05/2008

Charlie passait la majorité de son temps au jardin avec pour seule compagnie les fleurs et leurs divers parfums, sinon, elle allait aider sa mère à la boutique, faisant de son mieux pour satisfaire les quelques clients qui y venaient. Oui, elle était aveugle, mais pas incapable. Sa mère lui avait montré tout ce qu’elle savait pour l’aider et ensuite, elle avait fait son chemin. Maintenant, elle n’avait aucun problème pour faire les maintes tâches qu’il fallait effectuer. Les gens se montraient très gentil et jamais on avait remarqué un vol quelconque.

Un jour, alors que la boutique était bondée, Dahlia, la mère de Charlie, envoya celle-ci faire une petite course. Elle avait besoin qu’elle aille livrer un bouquet de fleurs. Elle connaissait bien la ville, donc pour elle, ce n’était pas tellement un problème. Et puis, elle croiserait probablement quelqu’un qui puisse l’aider à trouver l’endroit si elle n’y arrivait pas. Enfin, bon, avec toutes les précisions que lui avait donné sa mère, elle ne devrait avoir aucun mal à trouver la bonne adresse.

Aujourd’hui, la jeune fille portait une robe d’un bleu semblable à ses yeux. L’amie de sa mère lui avait fortement conseillé de la mettre. Elle disait qu’elle était ravissante lorsqu’elle portait cette robe. Charlie ne pouvait pas tellement en juger elle même puisqu’elle était aveugle, mais elle faisait confiance à cette gentille femme. Cette dernière aidait beaucoup à la boutique. C’était un vrai ange. En fait, Gabriella avait été la première à sympathiser avec elle et sa mère. Elle était en fait leur voisine.

L’adolescente se mit en route, aidée de sa canne. Elle n’avait pas envie d’emmener son chien avec elle ce jour là. Oui, elle appréciait beaucoup cette bête, mais elle avait envie d’un peu d’autonomie. La canne lui donnait l’impression d’être moins dépendante des autres. Elle lui permettait également de se déplacer en lui assurant une certaine sécurité. Le paquet sous le bras, elle finit par s’arrêter devant une porte. Elle avait alors sonné et on lui avait ouvert. Elle avait alors demandé si elle était au bon endroit. À son plus grand bonheur, ce fut le cas. Elle remit le bouquet, salua et repartit aussitôt.

Au début, Charlie comptait retourner immédiatement à la boutique, mais elle se dit qu’elle pourrait bien profiter de cette magnifique journée pour se promener un peu. Non, elle ne pouvait pas voir le soleil, mais elle sentait ses rayons réchauffer sa peau. Elle pouvait bien se permettre de prendre un peu l’air, non? Et puis, elle le savait, sa mère ne lui en voudrait pas.

Aventureuse…? Peut-être bien. Elle venait de quitter la ville, se dirigeant vers la falaise. Elle ne s’inquiétait pas de tomber, non. En fait, elle connaissait cet endroit comme le fond de sa poche. Enfin, presque! Elle y était déjà allée plusieurs fois et connaissait bien le chemin et l’endroit. Habituellement, elle y emmenait son chien et l’y laissait courir librement alors qu’elle s’installait quelque part dans l’herbe, profitant des caresses du vent.

Lorsqu’elle fut arrivée à destination, elle entendit un cri… C’était étrange, surtout que celui-ci était visiblement loin d’être celui de quelqu’un d’effrayé. En fait, elle avait crut sentir une certaine joie émaner de ce cri. Laissant apparaître un sourire sur ses lèvres, elle accéléra le pas, curieuse de découvrir qui était à la source de ce cri.

Après quelques secondes de marche rapide, la jeune fille s’arrêta. Elle ne savait plus trop où aller. Devait-elle continuer à avancer? Peut-être bien… Après tout, elle finirait bien par réentendre cette personne! Elle recommença à marcher, guidée par le bruit des vagues qui venaient s’abattre contre la falaise.

Charlie crut entendre quelque chose à nouveau et recommença à accélérer le pas. Dans sa précipitation, malgré sa canne, elle trébucha sur quelque chose, laissant échapper un petit cri. Elle avait fermé les yeux, s’attendant à chaque instant au choc douloureux que lui réservait sa rencontre avec le sol.

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William se retourna lorsqu'il entendit un crie tout près de lui. C'était une jeune femme. Il se rua vers elle pour la rattraper. S'il ne le fessait pas elle allait surement faire une sacré chute. Il arriva de justesse pour lui attraper le bras, mais ce n'était pas suffisent, avec le pois de la jeune femme il allait tomber touts les deux dans l'eau.
* Si seulement je pouvait attraper cette arbre... *
Soudain, les branches de l'abre le plus proche c'étirèrent pour attraper le jeune homme, qui put se resaisir et pauser la jeune femme parterre. Il vit bien la cane de la demoiselle, aveugle.

" Ça va aller ? Vous n'evez rien ? "

Il lui lacha le bras et la regardait. Il était dangereux pour quelqu'un de non voyen de se promenez ici. Enfin, sais se qu'il trouvait. Il se retourna vers l'arbre, il n'était pas encore abituer a sais pouvoir. Enfais, il savait comment controler certin de sais pouvoir parfaitement, mais parfoi il oubliet qu'il en avait et cela lui était vraiment bizard. Il se disait qu'il s'abbiturait bien assé vite, aforce de les utiliser.

Quoi qu'il en soie il retourna son attention vers l'aveugle. Il attendait un réponce de sa par.

(sais petit comparé a ta réponce mais j'ai fais de mon mieu ^^')

Humaine Nombre de messages : 20 Age : 31 Date d'inscription : 13/05/2008

Le choc ne vint pas. En fait, une grande main ferme s’était saisie de son bras, interrompant alors sa chute. Charlie avait été très surprise qu’on lui vienne en aide, surtout qu’elle ne croyait pas tellement que la personne qu’elle cherchait soit ici. Finalement, c’était sans doute la personne qui avait crié un peu plus tôt qui la retenait, l’empêchant ainsi de tomber. Peut-être découvrirait-elle son identité? Peut-être pas… Certaines personnes étaient moins ouvertes que d’autres et se contentaient d’aider pour finalement partir sans échanger plus de mots que nécessaire. Elle, personnellement, aimait bien faire la connaissance de nouvelles personnes. Et puis, si cette personne l’avait aidé, c’était sans doute que c’était quelqu’un de gentil, non? Du moins, c’était ce qu’elle espérait.

Après quelques secondes, elle retrouva son équilibre, ses deux pieds maintenant bien ancrés au sol alors qu’elle faisait face à son sauveur. Ce n’était pas très difficile de savoir où cette personne se trouvait parce qu’elle lui avait tenu le bras quelques secondes plus tôt. Le teint de Charlie s’était fait rosé, et ce, parce qu’elle était plutôt embarrassée. Si elle ne s’était pas précipitée de la sorte tout cela ne se serait pas produit. Elle n’aurait pas ennuyé quelqu’un qui avait sans doute autre chose à faire que de porter secours à une demoiselle maladroite, elle n’aurait pas risqué de se mettre en danger et elle ne se sentirait pas aussi gênée.

La jeune fille avait ouvert les yeux, ceux-ci ne fixant un point invisible, quelque part. Son regard bleuté cherchait sans voir quoi que ce soit. Tout était noir, comme à l’habitude. Même la lumière du soleil n’y changeait rien. Qu’est-ce qu’elle n’aurait pas donné pour pouvoir voir au moins quelques secondes! Enfin, bon, elle ne pouvait rien faire pour retrouver la vue, et elle devait s’en passer, comme à tous les jours de son existence depuis que celle-ci l’avait quitté.

"Oui, ça va, et vous?"

Maintenant, elle savait que son interlocuteur était un jeune homme. Sa simple voix venait de dévoiler une partie de son identité. Charlie se demandait si tout allait également bien pour celui qui lui avait porté secours.

"Merci de ne pas m’avoir laissée tomber… Je suis vraiment désolée de vous avoir déranger. J’aurais dû être un peu plus prudente, ça vous aurait évité d’avoir à m’aider."

Malgré son sourire plein de reconnaissance, on voyait bien qu’elle était habitée par un certain malaise. Elle détestait que ce genre de chose lui arrive, surtout que ça démontrait bien qu’elle souffrait d’un handicap. La faiblesse était une chose qui l’insupportait et elle essayait de cacher la sienne aussi souvent que possible. S’aventurer seule comme ça, c’était une façon de se convaincre qu’elle était tout à fait normale, et qu’elle pouvait faire comme tous les autres.

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William dévisaga l'avaugle un moment. Il ne comprenait pas pourquoi elle était désoler d'avoir été maladroite, sa pouvait arriver a tout le monde. Enfin, il arrêta de la dévisager et répondit a sa première question.

" Oui, je vais bien. "

Il eu un petit sourir. Il ne pouvait pas vraiment lui être arriver quoi que se soie, son pouvoir avait plus fais le travaille que lui.

" Inutille d'être désoler, sa peut arriver un peut de maladresse. Je ne suis pas contre le fais que vous devrier faire plus attention, les fallaises de son pas un endroit très approprier pour une aveugle. Bref, ne vous enfaite pas vous ne m'avez pas dérenger et puis si je n'avait pas été là vous serier mort tout en-bàs des fallaises. "

Il eu un petit rire, c'était plutot méchant de rire de cette scituation, mais avec William se genre de chose la fais rire.

" Mais ques-ce que vous fesiez ici ? Si se n'ai pas trop indiscret..."

William ne comprenait pas pourquoi une aveugle viendrait au sommet d'une grande fallaise c'était très dangeureux. Surtout que la ville n'avait aucunement penser a mettre des clotures, on se demande parfois ou va l'argent de la ville.

Humaine Nombre de messages : 20 Age : 31 Date d'inscription : 13/05/2008

Lorsqu’elle l’entendit répondre qu’il allait bien, Charlie fut soulagée et cela se vu immédiatement sur son visage. Il va sans dire qu’elle aurait beaucoup culpabilisé si, par sa faute, ce jeune homme se serait blessé. La simple pensée d’avoir été nuisible à quelqu’un lui était insupportable, surtout si son handicap en était en partie responsable. Au moins, cette fois, rien ne semblait s’être mal déroulé. Elle avait bien faillit y passer, mais elle était saine et sauve, tout comme son sauveur.

C’est alors que son interlocuteur lui dit qu’elle n’avait pas à être désolée, que des maladresses pouvaient se produire. Bon, c’était sans doute vrai, mais elle s’en voulait quand même de ne pas avoir été plus prudente. Elle aurait pu éviter tout ça en allant plus lentement, mais non, il avait fallu qu’elle se hâte. Ensuite, le jeune homme lui dit que ce n’était pas très prudent pour une aveugle de se promener dans un tel lieu. Cette fois, elle n’était pas tout à fait d’accord avec lui. Oui, ce n’était sans doute pas le lieu le plus sûr pour quelqu’un dans sa condition, mais ce n’était pas un lieu particulièrement dangereux pour les aveugles. C’était elle, l’étourdie, qui n’avait pas été plus prudente. En fait, la jeune fille était certaine que même en ayant la vue, elle aurait trouvé le moyen de se mettre en danger. La maladresse avait toujours été l’un de ses défauts, le pire selon elle. Lorsque celui qui se trouvait près d’elle lui dit que s’il n’avait pas été là, elle se serait retrouvé en bas des falaises, elle n’en fut pas tout à fait certaine. S’il était l’auteur du hurlement de tout à l’heure, il était indirectement responsable de ce qui s’était passé. En fait, si elle n’avait pas entendu ce cri, elle ne se serait pas mise à marcher à un tel rythme. Mais bon, c’était tout de même de sa faute à elle! Elle n’allait tout de même pas tenir un inconnu d’être responsable des gestes qu’elle avait posés, surtout qu’il lui avait porté secours.

"Les falaises ne sont pas particulièrement dangereuses. Disons seulement que c’est moi qui n’ai pas été très prudente. N’importe quel endroit peut être risqué si on est aussi maladroit que moi. Surtout que cette fois, je l’ai bien cherché. Me déplacer à cette vitesse, c’était de la folie."

Charlie n’avait pas particulièrement porté attention au rire. Elle même en avait probablement échappé un léger, mais c’était parce qu’elle était assez tendue. Elle était encore toute fébrile après ce qui s’était passé, étant pleinement consciente qu’elle avait faillit y passer! Elle était incorrigible… Heureusement que sa mère ne savait pas dans quelles situations elle arrivait à se fourrer parce que sinon, cette dernière aurait tôt fait de la garder à la maison en tous temps.

"En fait, j’étais venue ici pour profiter du calme et du soleil que nous apporte cette magnifique journée. Je comptais marcher un peu et peut-être m’installer quelque part, dans l’herbe, respirer l’air frais et sa délicieuse fragrance printanière, profiter des caresses du vent et écouter les vagues qui se fracassent contre les falaises."

La jeune fille semblait déjà plus détendue. Un nouveau sourire avait pris place sur ses lèvres rosées. Elle réalisa alors qu’elle n’avait plus sa canne en mains… Elle l’avait laissé tomber sur le sol pendant sa chute. L’expression de son visage changea brusquement, démontrant qu’elle semblait maintenant réfléchir à quel endroit environ il pourrait être. Elle s’était alors doucement penchée, ne se souciant pas trop de ce que pourrait penser le garçon en la voyant chercher ainsi sa canne. L’adolescente commença à tâter le sol, déterminée à retrouver ce qu’elle cherchait. Elle y passerait toute la journée s’il le fallait! Elle savait qu’il n’était pas tombé bien loin… Il était quelque part dans l’herbe, mais où…?

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William écouta les réponce de l'aveugle. Il aussa des épaule. Il trouvait cela toujours bizarre de voir un aveugle dans un endroit comme celui-ci, surement parce qu'il n'était tout simplement pas abituer de voir des aveugles. Il fut ensuit un peut surprit de voir la jeune fille se mettre a quattre patte et chercher quelque chose. Ca lui prit un petit moment avent de comprendre que c'était sa cane. Il regarda la cane noir pres du bord de la fallaise. Il alla la ramasser et retourna pres de l'aveugle, qui en passent ne savait même pas encore son nom, et lui donna quelque légé coup sur l'épaule avec la canne en disent:

" Je l'es trouver... "

Il avait un sourir au lèvre. Il trouvait la situation plutôt rigolotte. Dison que se n'ai pas avec des droguer que tu va avoir se genre de cituation. Il lui dit:

" A et simple renseignement... Je m'appelle William et vous ? "

Il n'avait pas trop l'abutide de donner son nom, enfin seulement lorsqu'il était menacer ou dans une situation plutot agréable comme celle-ci.

Humaine Nombre de messages : 20 Age : 31 Date d'inscription : 13/05/2008

Charlie avait beau chercher encore et encore, mais rien à faire. Sa canne restait introuvable! Elle commençait un peu à désespérer quand, finalement, le jeune homme qu’elle avait presque oublié lui tapota un peu l’épaule en lui disant qu’il l’avait retrouvé. Au début, elle avait cru qu’il utilisait l’un de ses doigts pour lui tapoter l’épaule, mais elle réalisa que c’était en fait sa canne. Glissant sa main jusqu’à elle, elle en reprit possession. Se relevant, elle se retrouva de nouveau sur ses pieds, maintenant beaucoup plus rassurée. Sa canne lui était d’une grande utilité. Elle lui évitait bien des ennuis! Elle était contente que le garçon ait pris la peine de l’aider. Il l’avait déjà fait une fois, mais rien ne disait qu’il recommencerait une seconde fois. Elle l’avait bel et bien entendu s’éloigner, mais sans être vraiment certaine qu’il lui donnerait un coup de main.

"Merci beaucoup."

Un nouveau sourire éclaira son visage, ce dernier étant beaucoup chaleureux qu’avant. L’adolescente se demandait néanmoins comment réagissait son interlocuteur. Elle n’avait pas la chance de pouvoir voir les expressions de son visage. Peut-être se moquait-il, ou bien, peut-être était-il ennuyé? Peut-être aussi qu’elle s’en faisait pour rien et qu’il était simplement en train de passer un moment agréable, un peu comme elle… C’est vrai qu’il ne lui arrivait pas souvent de rencontrer de nouvelles personnes, surtout que quand ça arrivait, il se pouvait que ce ne soit pas quelqu’un de très gentil. Il lui était même arrivé qu’on se moque d’elle. Mais bon, qu’est-ce qu’elle y pouvait? Elle était comme elle était et ceux qui ne l’aimaient pas n’avaient qu’à aller voir ailleurs!

"Enchantée William, je m’appelle Charlie."

La jeune fille avait été étonnée qu’il se présente à elle. Pourtant, c’était bien normal qu’il le fasse, non? Lorsqu’elle s’était présentée, elle s’était immédiatement demandée ce qu’il pensait de son prénom. Personnellement, elle, elle aimait bien. Elle ne connaissait aucune autre fille qui porte son prénom, et elle ne s’en plaignait pas. C’était original. Certains trouvaient ça assez moche, mais bon, on ne pouvait pas tout aimer!

"Mais dites-moi, je suis sans doute un peu indiscrète, mais je me demandais si c’était vous que j’avais entendu crier un peu plus tôt… C’est que c’est la source du cri que je cherchais. Je suis plutôt curieuse, je dois l’avouer."

Sur ce, elle avait semblé un peu gênée. Si ce n’était pas lui, il trouverait la question plutôt étrange. Qui plus est, elle devait sembler plutôt bizarre de suivre un cri pour en connaître l’origine. Il y avait des passes-temps plus intéressants. Enfin, même si ce n’était pas vraiment un passe-temps!

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William regarda la jeune femme rependre sa canne. On aurait dit un enfant qui venait de retrouver son jouet, tout heureuse. Il ne peut se retenir un sourire. Lorsqu’elle se présenta a lui son nom l’étonna un peut il n’avait jamais vue de fille avec se nom, des garçons parfois, mais jamais des filles. Pourtant, se nom lui allait bien. Il replaça une maiche de cheveux qui avait glisser devant son visage. Il fut ensuit plutôt surprit de la question de Charlie. Il ne put se retenir de rire un peut de bon cœur et de répondre :

« Oui, c’était moi. Je voulait laisser évacuer une dur journée... Dison que vendre des armes c'est pas se qui a de plus repausent...»

Il avait un sourir acrocher a ses lèvres. Il aimait bien cette jeune aveugle, elle était sympatique. Il réfléchie un moment a se qu'il venait de dire, il se demandait bien comment elle allait pendre le fais qu'elle parle a un vendreur d'arme. Il supausait qu'elle ne le prendait pas si mal que cela.

"La curiosité est un vilain défaut qui peut nous mettre dans des situation impossible"

Il eu un autre rire. Il devait bien l’avouer se défaut de lui déplaisait pas car c’était, parfois grâce a cela qu’il pouvait vendre sa drogue. Il fessait un boulot pas très aimer, mais qui rapportait beaucoup, enfin une partie de l'argent allait a ceux qui lui fournissait, mais il n’avait jamais eu d’ennuie avec cela ses client était régulier et terriblement accros, pour la plus par. Lui il se foutait complètement de se que fessait ses client avec la drogue tant qu’il était payer cela fessait son bonheur.

" A tu du travail ? "

Il se demaindait si qu'elle qu'un d'aveugle pouvait bien avoir un travail. Il avait donc pauser la question et attendait simplement une réponce.

Humaine Nombre de messages : 20 Age : 31 Date d'inscription : 13/05/2008

Charlie avait été soulagée de savoir que c’était bel et bien lui qui avait crié. Au moins, il ne la prendrait pas pour une folle! Crier pour évacuer une dure journée…? Intéressant. Elle n’avait jamais essayé une telle chose, sans doute par crainte de se faire trop remarqué. Elle avait toujours préféré être discrète, voulant se fondre dans la masse malgré son handicap. Il vendait des armes…? Bon, elle n’avait jamais été très chaudes à l’idée de savoir que des gens utilisaient des armes, mais c’était un travail comme un autre. Cependant, elle n’aurait jamais été capable d’avoir un tel emploi. Le fait qu’elle ne puisse voir n’était pas vraiment en cause. C’était surtout que moralement, il lui aurait été difficile d’accepter qu’elle aidait les gens à se procurer de quoi s’entre-tuer. Elle se sentirait responsable des morts causées par les armes qu’elle aurait vendues. Mais bon, à chacun ses goûts!

"Vous vendez des armes…? Vous aimez bien?"

Oui, la jeune fille savait qu’il avait dit que ce n’était pas reposant, mais ça ne voulait pas dire pour autant qu’il n’aimait pas son boulot. Parfois, elle-même, même en temps que fleuriste, elle avait du mal à trouver le temps de prendre une pose. Ça dépendait des jours. Le plus difficile, c’était quand ils avaient un contrat pour un événement particulier. Les mariages, les réceptions et les enterrements étaient particulièrement exigeants, mais à la fin d’une journée de travail, elle se sentait très bien. En fait, elle retirait une grande satisfaction du travail qu’elle accomplissait. Elle se sentait utile.

La curiosité, un défaut…? Oui, elle était d’accord avec lui. La curiosité l’avait fréquemment mise en positions délicates. Elle avait trop souvent fourré son nez là où il ne fallait pas et comme cette fois, elle s’était mise en danger. Mais bon, que voulez-vous, elle était comme ça! Qui plus est, sans la curiosité, elle n’aurait pas vraiment eu la chance de faire la connaissance de qui que ce soit. N’est-ce pas la curiosité qui nous pousse à apprendre à connaître les autres?

"Du travail…? Oui… Je suis fleuriste."

Et c’était un boulot qu’elle n’échangerait pour rien au monde. L’adolescente avait toujours été entourée de plantes et de fleurs de toutes sortes. Elle avait grandit dans une maison à l’immense jardin et encore, elle travaillait avec la flore. Son handicap n’y avait rien changé et n’y changerait jamais rien. Cette passion, elle l’avait hérité de sa mère. Elle lui avait tout appris…

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William ne s'attendait un peut a ses question. Il y avait toujours des gens qui les lui pausait ou d,autre qui fesait semblent de s,interrser a son métier pour le draguer mais se genr de tecnique était plutot minable a son gout.
Il eu un petit sourir et répondit:

" hey oui, je vent des armes... Si j'aime ça? heu... Bonne question..."

il prit une petite pause le temps d'y réfléchire et répondit:

" Parfoi oui parfoi non. Sa dépend des jour et de quel pied je me réveille."

Il fut étainer fleurise ! Mais comment fesait telle pour acorder la couleur des fleur ? Comment pouvait telle fais un telle métier lui même avait de la dificulter a fais un simple petit bouquet de fleur et elle qui était aveugle !

" Ce n'ai pas trop compliquer? Comment réeussiser vous a agencer les fleurs ? "

Il avait un peut peur que ses remarque soi blaissente, mais il tenait a savoir. Il était plutôt curieur, et ses question lui tortillet l'esprit.

Doucement un vent chaud vien foufler fortement autour des deux être en fesent virvolté leur cheveux et un peut leur vétement...

Humaine Nombre de messages : 20 Age : 31 Date d'inscription : 13/05/2008

Ce qui était certain, c’était que Charlie adorait son boulot et ne l’échangerait pour rien au monde. Pour ce qui était de l’amour plus ou moins présent de William pour son propre boulot, elle en était désolée… Elle se demandait s’il comptait travailler éternellement là-dedans… Peut-être qu’il ne comptait pas quitter son emploi. Après tout, s’il ne trouvait pas ça trop répréhensible et que c’était bien payé, pourquoi pas?

"Je vais être sincère avec vous… Je n’arriverais jamais à faire votre métier. Je culpabiliserais trop pour les blessures et les morts que causeraient les armes que je vendrais. Vendre quelque chose qui permet aux gens de faire du mal à d’autres me rendrait malheureuse je crois…"

La jeune fille essayait de s’imaginer en train de vendre des armes, mais ça ne collait pas du tout avec sa personnalité. Ses principes moraux l’empêcheraient de vendre des armes. Même si elle le voulait, elle n’y arriverait pas. Tout ce qui lui viendrait à l’esprit en travaillant ce serait les vies perdues et les gens blessés à cause d’elle, à cause des armes qu’elle aurait vendues.

William sembla plutôt étonné en apprenant qu’elle avait un travail et que c’était fleuriste. C’est alors qu’il lui demanda si ce n’était pas trop compliqué et comment elle arrivait à faire des agencements. Bon, ça pouvait sembler impossible, mais ça ne l’était pas. Quand on souhaitait vraiment faire quelque chose, on faisait les efforts pour y arriver. C’était ce qu’elle faisait.

"Je n’ai pas toujours été aveugle, vous savez… Je me souviens des bouquets que ma mère faisait quand j’étais plus jeune. Qui plus est, les couleurs ne sont pas les seules choses qui doivent être assorties. Les parfums doivent bien se mêler les uns aux autres… Et puis, on développe certains trucs pour reconnaître les différentes espèces de fleurs. L’expérience et la débrouillardise sont mes meilleurs outils!"

Mais faire des bouquets, ce n’était pas tout! Il fallait répondre au client, prendre les commandes en note, s’occuper de la caisse et faire les livraisons. Elle, elle s’occupait particulièrement des livraisons.

"La plupart du temps, je m’occupe des livraisons. D’ailleurs, c’était ce que je faisais avant de venir ici. Pour trouver le bon endroit, ce n’est pas bien difficile. Je connais bien la ville, je m’y suis promenée très souvent. Qui plus est, toutes les adresses sont situées de manière logique. Et puis, quand ça devient trop difficile, je demande de l’aide. Certaines personnes se montrent très gentilles."

Néerys de la terre Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 08/05/2008

William eu un rire. Il touvait bien amusent qu'elle lui dise qu'elle culpabiliserait a vendre des arme lu enfin n'y avait jamais vraiment prit attention. Il lui souriait toujours puis continua a l'écouté parler. Il trouvait bien intérésent de l'écoutait parler se qu'elle disait était intérésent et il aimait bien savoir comment une avaugle se débrouillet. Il la regardait.

" Et bien ! Je suis épaté ! Vous êtes superbe ! Vraiment !"

Il trouvait vraiment cool qu'elle puisse faire autent de chose et ne pas s'arrêté a son endiquappe. Lui personnélement il se sait pas trop s'i aurait eu le courage de continuer.