Commencement humide.

La nuit était tombée depuis quelques minutes et May regardait le ciel sombre, couvert par d'épais nuages menacants. L'air était lourd, et la jeune fille sentait qu'il allait pleuvoir; d'ailleurs, c'était pour cela qu'elle était sortie. Elle avait besoin de prendre l'air; après être rentrée d'une promenade dans le parc, elle était retournée chez elle et avait aidé son père à ranger les cartons et mettre la maison en ordre. La jeune fille avait fini par en avoir assez et était monté dans sa nouvelle chambre, écoutant de la musique. Et celle- ci, sans raison précise l'avait rendue dans un état profondément mélancolique, comme cela lui arrivait parfois, et elle avait souhaité de tout son coeur qu'il pleuve, afin de pouvoir sortir sous la pluie et se vider l'esprit.

Elle se trouvait à présent au devant de l'église de la ville, qu'elle avait aperçue le jour précédent, et contempla la masse sombre qui s'élevait vers le ciel noir, d'où commencèrent à tomber quelques fines gouttelettes d'eau. Elle s'assit sur la deuxième marche du parvis et frissonna au contact de la pierre, dont la froideur transperça le mince tissus noir de son pantalon. Elle contempla les environs, l'endroit était visiblement désert, bien qu'il ne fût que dix heures du soir. Elle posa ses coudes sur ses genoux, puis sa tête dans ses mains et ferma les yeux, écoutant le bruit de la pluie qui s'intensifiait au fur et à mesure que les gouttes se multipliaient, frappant le sol de plus en plus fort. L'eau tombait à présent assez abondamment, et l'avancement des pierres devant la grande porte close de l'église offraient à May un parfait abri; la jeune fille ne fut donc pas directement trempée par la pluie qui tombait, et seules quelques gouttes charriées par le vent humidifièrent ses cheveux et ses mains, ces dernières soutenant toujours les pomettes de May.

Cette dernière ne bougeait quasiment pas, écoutant le son du ruissellement de la pluie et celui de sa respiration régulière, légèrement rauque. Elle repensait à tout à l'heure, lorsqu'elle avait tenté d'appeler Oliver, puis Kate, tombant deux fois de suite sur le répondeur. Ses amis lui manquaient cruellement, et, à part son père avec qui elle s'entendait vraiment bien, elle ne connaissait personne ici. Elle était seule, pour l'instant, et l'unique personne de son âge avec qui elle avait sympathisé n'était en fait qu'un parfait inconnu qui pouvait se révéler être méchant et hyppocrite. Elle espérait de tout son coeur que non.. May se morigéna mentalement:

*Tu est idiote, allez, ça t'es déjà arrivé d'avoir le cafard; tu sais très bien que tu te feras des amis, il y a toujours des gens bien, où que l'on puisse aller!*

La jeune fille leva les yeux et ouvrit ces derniers en grand: une silhouette de plus en plus nette se découpait dans le soir; quelqu'un s'approchait sous la pluie, se dirigeant vers elle..

William avait passé une journée plutôt calme a son travail il n'y avait eu que deux clients. Il était ensuite retourner cher lui pour prendre une bonne douche bouillante et s'installer devant son écran de télévision pour écouter quelque film d'horreur. La nuit était doucement tombé et dans le grand appartement de William il n'y avait aucun bruit apar ceux du film et du chien qui esseyait désespérément attiré l'attention de son maître pour allé faire une promenade.

Le jeune homme fini par arrêter son film et regarda son chien qui se dandinait devant la porte avec sa léce dans la geuele. William se leva donc s'habilla et prit son parapluie. Il mit la lesse au coup du chien et passa la porte son appartement.

Il passa un bon moment dans le parc à regarder son chien s'amuser à glisser sur l'herbe mouiller. Le Néerys eu une soudaine avie de se promener dans la ville, qui était très calme. Il dut donc attraper son chien l'attacher et se mettre à marcher. Il passa les nombreuses rues et les belles petites ruelles. Il abouti prèt de l'église sans vraiment s'en rendre conte, mais il remarqua que son chien tirait soudainement fort presque entrin de s'étoufer. Il leva donc les yeux et remarqua une jeune femme qui ne semblait pas dans son acciette il se pencha et détacha son chien qui se mit a courir a toute vitesse vers cette fille. Il savait son que son chien ne lui ferait pas de mal.

Lorsque le chien fut au coté de la jeune femme il la renifla un peut et lui laicha la main. Il avait la queu qui bougait de droite a gauche tout heureux. Il pouvait sentir la mélancolie de la fille et il esseillait de la réconforté. En même temps William s'approchait doucement des deuxavait un sourir plutôt amical au lévre.

May sursauta lorsqu'en plus de la silhouette qu'elle avait aprecue, une forme surgit tout près d'elle; c'était un chien, tout mouillé qui remuait vaillamment la queue, l'éclaboussant au passage. La jeune fille le regarda quelques instants, se demandant ce que le chien venait faire là, puis sourit doucement lorsque l'animal s'approcha d'elle en lui léchant la main. La solhouette était à présent tout près d'elle et elle put distinguer un jeune homme qui souriait amicalement, May ne put s'empêcher de lui sourire à son tour, et ses yeux reprirent de leur force, sa mélancolie s'estompant avec les frétillements du chien à côté d'elle. Elle posa doucement la main sur l'animal et le caressa, puis releva la tête vers le jeune homme qui se tenait devant elle; elle se leva et lui tendit la main, un peu timide.

"Bonjour... Il est mignon votre chien.."

Elle regarda ce dernier qui remuait toujours de la queue, et finit par sourire franchement, se sentant plus légère. Elle reporta son attention sur le jeune homme qui était devant elle; il avait l'air assez costaud, grand, brun, et plutôt bienveillant.

"En tout cas, sa bonne humeur est contagieuse.. Vous le promeniez? Au fait, je m'appelle May!"

William ne peut s'empaicher d'éclaté de rire sous le bonbardement de question de la jeune demoiselle nommée May. Il venait tout juste d'arriver et toute sais question l'avait plutôt étauner. D'habitude personne ne le bonbardait de question ou de parole. Il lui cérra la main et lui souri encore plus amicalement, il lui répondit:

" Merci, moi aussi je le trouve mignion ! "

Il regarda son chien un moment en sourient et retourna son regard vers la jeune femme.

" Oui, je le promenait. Moi c'est William, Enchanté ! "

Il la regarda un moment et remarqu'a qu'elle ne semblait pas être une abituer de la ville. Surement venait telle tout juste d'eménager. Qui sais ?

* Tu vas lui pauser la question ou tu va attendre des années ? Oh ! Calme toi, j'ai tout mon temps il est simplement..."

Il regarda sa montre et soupira.

* Il est simplement 23 heur 34 ! Va y avoir un bon films a la tête William... Je me fou du film je suis bien ici alors tu va te taire ! *

Il regarda son chien puis demanda a May.

" Tu es nouvelle dans la cartier ? "

Sans vraiment le vouloir William avait un térible acen Allemend qui dabitude était moin pononcer. Il lui dit:

" Schöne Nacht, nicht ?"

Il ne l'avait pas remarquer mais se qu'il venait de dire était en allemend et si cette jeune fille j'abvait pas eu de cours pour apprendre cette l'angue elle n'y comprendrerait pas un seul mots. Pourtant, le juene homme se contentait de sourire, inocament.

May serra la main et écouta la réponse du jeune homme en souriant, ne voyant pas l'expression amusée qu'il avait sur le visage. Elle le regarda et il lui sembla que le dénommé William réfléchissait, car il se tut quelques instants comme s'il se parlait à lui- même. Puis après avoir regardé sa montre il s'adressa à elle:

" Tu es nouvelle dans le quartier ? "

Elle fronca les sourcils et laissa échapper un petit rire:

"Ca se voit tant que ça?"

Elle l'entendit avec surprise parler allemand, et par chance, elle comprit le sens des trois mots simples qu'il avait prononcé, bien qu'elle n'en ait jamais fait, il ne semblait pas s'être rendu compte qu'il avait parlé en Allemand, et elle lui répondit donc comme si de rien n'était:

"Oui, belle nuit... Bien que je ne puisse vous répondre en Allemand, pardonnez- moi"

Elle sourit en coin et constata que la pluie s'était réduite à l'état de fines goutelettes à peine visibles dans le clair de lune

"Tiens, on dirait que ça se calme.. Vous voulez marcher un peu?"

William la regardait toujours en sourient. lorsquelle lui demandait si sa se voyait tant que cale il lui répondit simplement:

" Non pas tant que cela, mais je sort beaucoup dehors a cette heur et je ne t'avait jamais vue... j'en n'ai déduit que tu êtait nouvelle dans le quartier."

William eu un petit mal laise. Le fais davoir parler en allemend pas inadvertance était un peut génant surtout que elle ne le parlait pas.

" Ho ! Pardon je ne voulait pas parler dans ma lange natal, c'était un accidant..."

Il lui fit un petit sourir géné. La jeune femme changa de discution en lui demandant de marcher un peut se que William ne pouvait biensur ne pas refusez. Il fit oui de la tête et d'un claquement de doigt son chien vin se mettre au pied. Il lui tandit la main pour l'aider a se relever, si elle voulait de l'aide. Certaine femme fessait souvent le coup d'ignioré sa mains comme pour lui dire je n'ai pas besoin de toi...

*William rentron il pleut ! Non, on ne rentre pas, on reste ! *

La jeune fille prit la main que William lui tendait et se releva en le remerciant. Le chien du jeune homme l'amusait, avec son attitude fofolle et calme à la fois. La pluie s'était quasi arrêtée, et il ne tombait plus qu'une fine brume, plus trop embêtante à vrai dire. Elle se tourna vers William, l'interrogeant du regard sur la destination où aller mais elle s'avança finalement à ses côtés en contournant l'église, sur la droite. Ils passèrent devant une des deux gargouilles de pierre, et longeaient le grand mur, lorsque trois motards s'avancèrent vers eux, à pied. Il était évident qu'ils étaient loin d'être clean, et ils souriaient bêtement en s'approchant. May vit briller des couteaux dans leur main.

"Hé pétasse, tu fais quoi dehors si tard?"

Pétasse? Naturellement, ils étaient défoncés. Kiira posa la main sur le manche de son cran d'arrêt, dans sa poche.

"Et avec une baltringue, en plus"

Une baltringue? Ils devaient voir serieusement rouge pour traiter William de baltringue!
Les hommes habillés de cuir s'avancèrent vers eux en ricanant.

William m'archait tout bêtement sans destination fixse simplement pour se promener. Parfoie, ses pied le menait a des endroit très jolie de la ville. Il gardait un oeil sur son chien, personne ne pouvait prévoir se que cette imbésil pouvait bien faire. Il s'arrêta lorsque trois hommes complétement défoncés les interpela en les insultant. Il soupira, c'est hommes manquait d'imagination dans leur insulté, mais horgeuilleux comme son les hommes lorsque William se fit traité de baltringue il ne le pris pas. Il réfléchit un moment au arme qu'il avait sur lui. Un couteau de chasse, un petit katana et un silencieux calibre 12. Il regarda le couteau de l'homme et se retien d'éclaté de rire, il ne peut se retenir un sourir.

* Patétique ! Soul et ridiculement armer... Tu devais y aller molo faus pas effreiller May. Oui, tu as raison ! J'ai toujours raison !*

" Les mec si vous voulez pas perdre la face vous devrier tout simplement partire... Ce petit couteau, est ridicule ! Et puis moi j'ai des muscle et vous un ventre de bière... et deplus je suis sobre et vous complétemant soul ! "

Tout était clair Will c'était fais deux plan un s'il attaquait May et un autre s'il l'attaquait lui. Il ne voulait pas passer un mauvaise soiré, tout allait bien et il ne voulait pas la gacher. Avec le temps que sais brut eu de répondre William se fit un plan un cas de dégénération. Il allait devoir faire une invocation animal et qui n'aurait pas peur d'une petite meute de loup (petit signifi 5 à 6 loups).